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Août
27
2005
Vision 2005
Posted by jujudellago on 27 Août 2005 / 0 Comment



Ainsi, après les désillusions des annulations des deux dernières années, j’accueillis la nouvelle confirmant la tenue de l’édition 2005 avec une joie rare, tant cette soirée conclurait à merveille une saison estivale suisse au programme bien chargé et festif.

Si les terribles inondations ont fait craindre le pire cette année encore, je pu toutefois mettre en œuvre mes plans de préparation du campement idéal en apprenant que le festival aurai bien lieu. Malgré les prévisions d’une probable accalmie des précipitations, je préparais ainsi une grande tente, de nombreuses bâches, des matelas et autres couvertures pour assurer un bon confort en toutes circonstances à mes acolytes peu intéressés par les histoires de camping… Qu’à cela ne tienne, fruit d’une vieille tradition familiale, j’avais à disposition de quoi organiser un camp de vacances…

Samedi matin, 27 août 2005, le grand jour était arrivé. Après un plein d’essence, un contrôle des niveaux et pressions, et une petite balade pour récupérer les copains, je pouvais prendre la route de " küssnacht am riggi " itinéraire en main. Avec un trajet d’environ trois heures, je pris un rythme tranquille pour ne pas me laisser user par la route, la joie se lisait sur les visages des occupants de la voiture, j’étais quand à moi excité comme un enfant le matin de noël, attendant toutefois d’être arrivé sur le site avant de laisser exploser ma joie.

Après un petit détour involontaire dans la campagne lucernoise dû à une légère erreur d’appréciation du plan, nous trouvions enfin le bon chemin, arrivant à küssnacht vers 17h00. Nous nous dirigions directement au parking situé au centre sportif pour monter au site en bus. L’organisation était très bonne tant l’attente fut brève et, en quelques minutes, nous nous trouvions dans un bus pour une montée des plus épiques. En effet, la route parvenant au lieu dit " seebodenalp " faisait à peine la largeur du bus, et le fort dénivelé ainsi que les virages en épingle serrés nous offraient autant d’émotions que de paysages fantastiques, la tension montait peu à peu…

Une vingtaine minutes plus tard d’un trajet que j’étais véritablement heureux de ne pas avoir fait avec ma voiture, j’assurais la fixation de mon harnachement de glacières, tentes et sacs à mon trolley, pour suivre la foule se dirigeant sur le site en empruntant un petit chemin de terre. Les billets échangés pour des bracelets, j’ai crains un instant une longue fouille si le service de sécurité désirait contrôler mes affaires. Heureusement, il n’en fut rien, et je passais l’entrée avec un sourire de soulagement. J’avais bien suivi les instructions et n’avait pas pris de bouteilles en verre, j’avais simplement hâte d’y être!

Au fil du chemin, j’entendais peu à peu les premiers sons au loin, sensations surréalistes perdues dans ces montagnes embrumées et, au détour d’une colline, première vision du lieu, apercevant un voile de ballons blancs géants suspendus dans le ciel, une foule bien fournie, et une mer de tentes au loin… La couverture réseau ne me permettant pas d’appeler mes amis arrivés plus tôt, j’espérais un coup de chance pour les retrouver. Comme celle-ci devait être de mon côté, je n’eus même pas à chercher,  mais fus moi même trouvé et guidé et, mieux encore, ils nous avaient gardé de la place pour établir notre campement.

A peine le temps d’un apéro et je montais ma tente aussi vite que possible. Il était presque 18 heures et j’avais besoin de musique et de basses dans mon corps. Une fois bien installé, un deuxième apéro en main, je partais à la découverte du site, commençant par la scène principale pour savourer les derniers moments de manon, ayant une tendresse particulière pour cette djette m’ayant offert tant de bons moments au sensor ou à l’ oxa il y a quelques années.

Si l’euphorie probable de la belle manon n’était pas forcément favorable à la qualité de ses mixes, sa sélection était en revanche irréprochable. En moins de 30 minutes, j’en avais oublié la périlleuse expédition m’ayant mené sur place pour me mettre au rythme de la fête, alors que quelques gouttes venaient rafraîchir nos visages trop heureux pour que cela ne les dérangent.

Une brève incursion sous la dachkantine zelt que je présageais plus agréable la nuit venue et je retournais à notre campement situé juste en face de la " camouflage zelt ", emplacement stratégique impeccable, proche de la grande scène, sur un bon lieu de passage qui me permit alors de rencontrer plein de monde…

Pas très intéressé à l’idée d’un grand gueuleton, j’avais prévu de la subsistance sous forme de barres de céréales, fruits, lait de soja, spiruline et autres aloe vera, véritables booster naturels m’assurant de garder la forme pour une soirée qui serait probablement éprouvante et solution me permettant également de rater un minimum des prestations musicales!

Survolté par l’ambiance, je repris rapidement le chemin de la scène principale pour y suivre la fin du live de morgenstern. Les derniers instants pour être plus précis car je vis rapidement sonja moonear s’installer aux platines. Sa performance au jazz café en juillet dernier m’ayant véritablement impressionné, c’était un véritable plaisir de la retrouver ainsi au coucher du soleil, moment magique où la décoration déjà impressionnante du site pouvait prendre sa vraie dimension. Les projecteurs s’allumaient peu à peu, illuminant et colorant le voile de ballons géants placés au dessus du dancefloor. Sur la colline située en face, les torches s’allumaient une à une, offrant une vision délirante à un public heureux. La nuit s’annonçait vraiment exceptionnelle, je passais un dernier coup de fil à mon meilleur ami n’ayant pas pu venir à cause d’un cruel job, désireux de partager cet instant magique.

Tout comme à montreux, sonja moonear fit un set fantastique, dark et minima,l avec un groove et une pêche irrésistible. La fine pluie ne cassait rien à l’ambiance, quelques flaques de boue se formaient, mais je n’avais pas encore été contraint de mettre mes grosses chaussures montagnardes et gambadais gaiement en petites tennis.

Déjà fasciné par les lumières et les torches, le set de la dj genevoise était désormais accompagné de feux d’artifices majestueux. Debout devant la scène, levant les yeux vers le ciel illuminé de milles couleurs, contemplant les ballons éclairés d’un violet profond, transporté par une musique excellente portée par une sono hors pair, je fis ce que toute personne normalement constituée ouverte à ce genre de musique ferait: lever les bras et hurler son bonheur!!!

A 22 heures, la soirée battait déjà son plein, je ne quittais plus mon grand sourire en retrouvant mes amis romands venus en nombre, auxquels j’ai pu notamment demander l’heure de passage à mirweiss, que j’étais particulièrement heureux de retrouver sur le lineup après l’avoir vu jouer dans des endroits bien plus modestes. Ce booking à vision était une étape de plus dans la montée en notoriété méritée du très talentueux dj et producteur lausannois, il était hors de question de le manquer. Rendez-vous était pris à 03h00 à la dachkantine zelt.

Je repartais en balade sur ce site résolument magique tant il n’était consacré qu’à la fête. En effet, malgré les années et le succès, le festival vision est arrivé à garder son identité au fil du temps, ne forçant pas trop la promotion pour éviter de transformer la manifestation en grande foire colorée comme il en existe déjà tant. Ici, pas de banderoles publicitaires, pas de sponsoring agressif, pas de gadgets promotionnels débiles, ça fait du bien des fois…

Encore un petit tour au campement pour remplir les gourdes d’un délicat cocktail, et je retournais à la scène principale vêtu cette fois d’un k-way et de grosses chaussures pour ne pas me soucier d’une météo capricieuse. Je retrouvais alors le reste du team hexadance, aussi heureux et euphorique que moi, pour suivre les prestations pyrotechniques accompagnant le live de " kreidler ". La vision en était tellement époustouflante que je ne prêtais pas vraiment attention à la qualité du concert. Cracheurs de feux, jongleurs et danseurs faisaient leur show aux quatre coins du dancelfoor, la soirée ne faisait que gagner en magie.

Attiré vers la scène par un son de basse prometteur, mon élan fut quelques peu freiné par le début des prestations vocales de " captain coma ". Je restais pantois un moment avant de me laisser gagner par les basses et l’énergie dégagée par le groupe allemand qui m’était alors inconnu. Les deux performers vocaux se démenaient tant sur scène qu’ils forçaient le respect, le son profond et lourd faisait le reste, j’entrais totalement dedans et savourais le concert accompagné une fois encore de feux d’artifices et autres effets lumineux…

Minuit, le duo villalobos-luciano fit son entrée sur scène sous un tonnerre d’applaudissements. Un mouvement de foule renforça considérablement l’audience en quelques instants, l’ambiance était déjà énorme, le duo chilien y mit le feu…

Encore plus fort qu’à montreux, probablement grâce à l’idée que la soirée ne s’arrêterait pas au milieu de la nuit, la minimale ravageuse qui nous était offerte me rendit véritablement extatique. Je sautais joyeusement dans la boue, un sourire allant d’une oreille à l’autre, savourant la beauté de l’instant.

A 03h00, la vibration de mon portable dans ma poche me rappelait comme prévu qu’il était l’heure de rejoindre la dachkantine zelt pour y suivre la prestation de mirweiss. Je manquais un peu avec regret la fin du set de villalobos et luciano, rapidement consolé avec le redoublement de la pluie: je serai résolument mieux sous la tente…!

Sous une chaleur presque étouffante, après avoir débuté la soirée en plein air, nous nous installions près de la scène pour pouvoir poser nos vestes et pulls sur les barrières et ainsi danser confortablement. Nous pouvions alors voir mirweiss se préparer pendant la fin du set précédent. Un petit coucou dans sa direction, la tension se faisait sentir sur ses traits mais j’étais sûr qu’il nous offrirait une belle performance.

Les rythmiques electro-minimales laissèrent place au silence, et après une salve d’applaudissements, l’intro du producteur lausannois pouvait commencer, très abstraite et minimale comme à l’accoutumée, pour poser son ambiance, avant de lancer peu à peu les basslines dévastatrices mettant la dachkantine zelt en furie. Quelque peu aidé par la pluie de plus en plus forte, la tente fût rapidement comble d’un public certes poussé par les éléments, mais retenu par la qualité du live. Ce fut un des grands moments de ma soirée.

Resté jusqu’à la fin du live, je quittais la tente par l’entrée située à l’opposé de la scène principale pour une nouvelle balade. Longeant la tente, mon regard fut attiré par la silhouette peu probable d’un gros poisson rouge lumineux. Surpris par cette vision, j’arrêtais ma marche pour mieux y voir, sans pouvoir distinguer d’où venait  cette décoration. Encore quelques pas et cette fois c’est un énorme smiley rouge qui brillait a une dizaine de mètres de moi. Je ne rêvais donc pas et me dirigeais vers cette drôle de lumière formée par une barre lumineuse à l’aspect anodin. Les propriétaires du stand m’expliquèrent qu’il s’agissait d’un relativement ancien procédé permettant de produire des images visibles uniquement en bougeant latéralement la tête. L’image d’un écran de télévision est produit par un balayage constant de rayons de lumières et, dans le cas présent, le rayon reste fixe, et c’est le spectateur qui reproduit le mouvement. Amusant, très amusant même en ce genre de circonstance où la grande majorité du public se trouve dans un état permettant un véritable émerveillement face à ce genre de délire!

Il était déjà presque 05h00 et je me dirigeais sous une pluie battante dans une boue de plus en plus épaisse vers la grande scène, où le grand gourou sven avait pris les platines. Une foule hystérique d’une centaine de personnes bravait les éléments pour savourer son set dans une ambiance folle. J’y restai un petit moment, rapidement lassé par l’effet ventouse de la boue à chacun de mes pas et sentant également la fatigue monter en moi. Mine de rien, cela faisait déjà un bon moment que je ne m’étais pas assis, la morphologie du terrain n’en donnant pas trop envie.

Je demandais alors à mes amis de ne pas me laisser dormir trop longtemps avant de me diriger vers ma tente. Au moment où j’y entrais, la pluie sembla encore redoubler. Je me débarrassais de mes habits boueux pour rejoindre mon confortable sac de couchage dans lequel je pus gentiment m’endormir, bercé par le set de manon dans la camouflage zelt.

08h00 du matin, la porte de ma tente s’ouvrait pour laisser apparaître un visage souriant. « Alors juju? On y retourne? » La nuit pluvieuse avait laissé place à un matin brumeux. J’invitais alors mes acolytes à s’asseoir au sec pour un petit dejeuner-apéro destiné à les motiver, mais surtout à me réveiller et me sortir de mon cocon douillet.

Péniblement, ré-équipé de mes grosses chaussures, pull et autres vestes de pluie, la vision qui s’offrit à moi en sortant de ma tente était une fois encore surréelle. Le terrain était cette fois totalement dévasté et ne ressemblait plus qu’à une immense étendue de boue. Le soleil était sorti de sa tanière mais ne parvenait pas à percer le brouillard épais, se contentant de lui donner une brillance laiteuse cachant totalement l’évolution du temps.

J’effectuais un tour par la scène où le grand pape de dekadance et de cocoon n’avait rien perdu de sa verve, avant de rejoindre la dachkantine zelt où je décidais d’aller me dégourdir les jambes au sec. J’y découvrais une performance électro dark du meilleur effet. Les sons lourds et prenants allaient à merveille avec ce matin brumeux, me donnant l’impression d’avoir rejoint une sorte de monde parallèle durant mon sommeil.

A force de balades, je n’avais pas vraiment prêté attention au set de sven vaeth. Je décidais alors de profiter des dernières heures de sa prestation. Il ne pleuvait plus, mais la boue limitait fortement les mouvements. Je me plaçais alors juste devant la scène et oeuvrais de mon mieux pour dégager une surface circulaire autour de moi afin d’éviter à mes pieds de rester collés dans la boue. Le public étant alors relativement diffus, je n’eus pas trop de problème à me ménager ma petite zone et pouvais quand même bien danser.

A passé 40 ans, après une carrière hors du commun, les prestations de sven vaeth sont souvent critiquées. On le dit trop vieux, usé, perfectible techniquement, ne se reposant que sur sa notoriété. Hors, il suffit de l’observer joueur pour se rendre compte de l’ampleur du phénomène. Il n’y a pas que la technique qui fasse apprécier un set, quoique la facilité avec laquelle sven arrive à caler un disque et lancer un mix en n’ayant écouté dans son casque qu’une poignée de secondes m’impressionnera toujours, mais ce que je trouve fascinant avec lui, c’est sa façon de communier avec son public, de jouer avec ses réactions, de le surprendre sans cesse avec des sons parvenant toujours au bon moment, sa connaissance parfaite de ses plaques lui permettant de doser les effets et retours de basses en réalisant un véritable jeu de scène unique.

A froid, le spectacle du grand sven gesticulant et grimaçant commença par me faire rire aux éclats, avant de rentrer peu à peu dans son set et me mettre comme tout le monde à hurler et lever les bras. Je passais ainsi plus de deux heures à danser, sans pouvoir me rendre compte de l’évolution du jour tant le brouillard était épais.

Le set ayant été quelques peu prolongé sous l’insistance du public, c’est avec un léger retard que gabriel ananda pouvait commencer son live (petit détail, mais je trouve fabuleux de faire jouer une tête d’affiche à midi). En grand amateur du producteur allemand, je me réjouissais dès l’annonce du line up de le voir jouer en live. Véritable live s’il en était, car il n’y avait pas de laptop sur scène et c’est vers une performance totalement analogique que nous nous dirigions.

Prenant mon courage à deux mains, j’ai alors décidé d’escalader la colline située en face de la scène pour profiter de l’intro planante d’ananda. Je trouvais même une bâche abandonnée pour m’asseoir au sec. Encore une vision mémorable pour ce festival vision, à cette altitude, ce n’était pas vraiment du brouillard qui nous offrait ce jour blanc, mais plutôt de gros nuages s’accrochant à la montagne. Ceux-ci étaient si épais qu’en l’espace de quelques secondes la scène disparaissait et réapparaissait devant mes yeux. Ma courte nuit de sommeil m’avait mis dans un état quelque peu végétatif. Je restais immobile à regarder ce spectacle irréel. La prestation d’ananda, me laissa quand même un peu sur ma faim. J’espérais un peu plus de rythme pour ce live d’un style que je qualifie normalement de trance-minimale. En l’occurrence, un peu trop trance et pas assez minimal à mon goût.


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Désireux de conduire en bonne forme pour ramener mes amis et moi-même en toute sécurité, je les laissais terminer gaiement la fête pour retourner à ma tente où je retrouvais mon lit douillet pour une grosse sieste après un bon petit en-cas.

Réveillé par la chaleur vers 15h00, je n’entendais plus de musique depuis mon lit et pouvais sentir que les nuages s’étaient enfin envolés tant la lumière était vive sous la toile marine de ma tente. Je sortis et rejoins mes amis étendus dehors sous un soleil glorieux. Je m’appropriais alors l’un des nombreux matelas abandonnés et reprenais une petite sieste en plein air cette fois. Il devait y avoir des bus jusqu’à 18 heures, donc pas de raison de se stresser!

Si le démontage fut quelque peu plus périlleux que l’installation, mon bardas fut rapidement replacé sur mon trolley. Repartant quasiment 24 heures après notre arrivée, nous traversions l’immense champ de boue non sans peine, entendant au loin les sons d’une probable after. Je ne voulais toutefois pas m’éterniser afin de faire la route de jour et n’y fit pas de détour. Arrivé à l‘arrêt de bus, nous en trouvions un se dirigeant vers le parking du centre sportif sans peine dans lequel, confortablement installés, nous avons pu profiter des paysages splendides s’offrant à nous.

La vue de ce retour subit du temps estival me laissait quand même une petite amertume: la soirée aurait sans doute été encore plus belle sous les étoiles, et surtout sans boue, mais elle avait déjà été tellement incroyable qu’il n’y avait rien a regretter, simplement se réjouir de la prochaine!

Finalement très bien reposé par mes multiples siestes, je pus conduire sans l’ombre d’un problème jusqu’à nyon, aidé en cela par une succession de paysages une fois encore merveilleux sous un coucher de soleil majestueux. Le retour de la chaleur faisait remonter l’humidité dans le ciel, donnant d’incroyables effets lumineux aux rayons solaires, changeant la couleur du ciel du jaune au rouge en passant par le rose, dernière vision cette fois-ci pour un week-end absolument inoubliable. S’il ne devait rester qu’une soirée à faire dans l’année, pour moi ce serait vision…

Article posté originalement sur le site hexadance.com pour l’évènement: ‘27.08.2005 Vision @ Site du Seebodenalp

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